The Greek Theatre of Father Brumoy, Volume 2

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Millar, 1759 - 478 páginas
 

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Termos e frases comuns

Passagens mais conhecidas

Página 435 - Sa voix redoutable Trouble les enfers ; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers ; La terre tremblante Frémit de terreur.; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 287 - Et toi, Neptune, et toi, si jadis mon courage D'infâmes assassins nettoya ton rivage, Souviens-toi que , pour prix de mes efforts heureux , Tu promis d'exaucer le premier de mes vœux.
Página 419 - Qu'en nobles sentiments il soit partout fécond , Qu'il soit aisé, solide, agréable, profond, Que de traits surprenants sans cesse il nous réveille; Qu'il coure dans ses vers de merveille en merveille; Et que tout ce qu'il dit, facile à retenir, De son ouvrage en nous laisse un long souvenir.
Página 81 - Th' infernal monarch rear'd his horrid head, Leap'd from his throne, lest Neptune's arm should lay His dark dominions open to the day, And pour in light on Pluto's drear abodes, Abhorr'd by men, and dreadful ev'n to gods. Such war th' immortals wage; such horrors rend The world's vast concave, when the gods contend.
Página 520 - Tous ces pompeux amas d'expressions frivoles Sont d'un déclamateur amoureux des paroles. Il faut dans la douleur que vous vous abaissiez : Pour me tirer des pleurs, il faut que vous pleuriez.
Página 456 - Fais connaître à mon fils les héros de fa race ; Autant que tu pourras, conduis-le fur leur trace : Dis-lui par quels exploits leurs noms ont éclaté , Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été...
Página 275 - Soleil voit par eux ses maisons7 occupées, Sans en être chassés ils les ont usurpées. Ces vaincus qui m'ont fait si célèbre aux neveux*, Ont au Ciel devant* moi la place que j'y veux ; Junon, dont le courroux ne peut encor s'éteindre...
Página 413 - Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du cœur, tu la cherches des yeux ; Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu...
Página 318 - J'ai vu trancher les jours de ma famille entiere, Et mon epoux sanglant traine sur la poussiere, Son fils seul avec moi, reserve pour les fers.
Página 286 - Et sur ton fils mourant arrête un peu ta vue; Vois, Jupin, que je meurs; mais vois de quelle mort! Et donne du secours ou des pleurs à mon sort. J'ai toujours dû ma vie à ma seule défense, Et je n'ai point encore imploré ta puissance. Quand les têtes de l'Hydre ont fait entre mes bras Cent replis tortueux, je ne te priois pas; Quand j'ai , dans les enfers , affronté la mort même...

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