Des bords de la Saône à la baie de San Salvador: ou Promenade sentimentale en France et au BrésilLacour, 1843 - 394 páginas |
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Des bords de la Saône à la baie de San Salvador: ou Promenade sentimentale ... C. M. A. Dugrivel Visualização completa - 1843 |
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Des Bords de la Saône a la Baie de San Salvador: Ou Promenade Sentimentale ... C. M. A. Dugrivel Prévia não disponível - 2014 |
Termos e frases comuns
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Passagens mais conhecidas
Página 36 - Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
Página 98 - Le nectar que l'on sert au maître du tonnerre, Et dont nous enivrons tous les dieux de la terre. C'est la louange. Iris. Vous ne la goûtez point; D'autres propos chez vous récompensent ce point, Propos, agréables commerces, Où le hasard fournit cent matières diverses.
Página 69 - Un Lièvre en son gîte songeait (Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?) ; Dans un profond ennui ce Lièvre se plongeait : Cet animal est triste, et la crainte le ronge.
Página 31 - C'est de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux; Et par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées.
Página 45 - ... la crainte de quelque punition. Et c'est apparemment pour cela qu'on regarde comme quelque chose de honteux de se charger de l'administration publique de son plein gré, sans y être contraint. Or, la plus grande punition pour l'homme de bien , lorsqu'il refuse de gouverner les autres, c'est d'être gouverné par un plus méchant que soi : c'est cette crainte qui oblige les sages à se charger du gouvernement, non pour leur intérêt, ni pour leur plaisir, mais parce qu'ils y sont forcés par...
Página 259 - Quand on voit des navires pour la première fois, on ne peut s'empêcher d'admirer le génie de l'homme qui a su bâtir des maisons mouvantes avec lesquelles il franchit les mers et parcourt le globe.
Página 15 - Nous ne sommes plus aujourd'hui ce que nous étions hier, et demain nous ne serons plus ce que nous sommes aujourd'hui. Nous ne sommes plus les Russes d'avant 1917 et la Russie n'est plus la même, ni notre caractère. Nous avons changé, nous avons grandi avec ces gigantesques réformes qui ont radicalement modifié l'aspect de notre pays.
Página 112 - Une pratique journalière, une observation continue : c'est l'habitude de la vertu, la coutume du sentiment.
Página 312 - Dieu prodigue ses biens A ceux qui font vœu d'être siens. 11 est écrit en effet : « Le monde des richesses appartient tout entier au fidèle, à l'infidèle non pas même une obole.