Quittant l'arbre mouvant et las qu'elle revêt, Redescend doucement sur les chemins tranquilles ; Nous avons tous les jours l'habitude de voir Cette route si simple et si souvent suivie, Et pourtant quelque chose est changé dans la vie : Nous n'aurons... Revue des deux mondes - Página 2141900Visualização completa - Sobre este livro
| 1901 - 656 páginas
...marcher ni remuer l'air tendre, De peur de déranger le sommeil des odeurs. De lointains roulements arrivent de la ville... La poussière qu'un peu de...Nous n'aurons plus jamais notre âme de ce soir... Les beautés en un jour s'en vont comme les rosés, chantait notre vieux poète Ronsard. Ainsi Mme... | |
| 1914 - 914 páginas
...tendre De peur de déranger le sommeil des odeurs. De lointains roulements arrivent de la ville (i)... La poussière qu'un peu de brise soulevait, Quittant...est changé dans la vie : Nous n'aurons plus jamais noire aine de ce soir. Si fervent, si profond est l'amour dont le cœur s'est enci aux choses qu'il... | |
| 1902 - 656 páginas
...roulements arrivent de la villeLa poussière qu'un peu de brise soulevait. Quittant l'arbre mourant et las qu'elle revêt. Redescend doucement sur les...Nous n'aurons plus jamais notre âme de ce soir... Les beautés en un jour s'envont comme les rosés, chantait notre vieux poète Ronsard. Ainsi M""'... | |
| 1921 - 1120 páginas
...marcher ni remuer l'air tendre, De peur de déranger le sommeil des odeurs. De lointains roulements arrivent de la ville... La poussière qu'un peu de...soulevait, Quittant l'arbre mouvant et las qu'elle revit, Redescend doucement sur les chemins tranquilles. Nous avons, tous les jours, l'habitude de voir... | |
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