Oeuvres complètes de Rollin, Volume 26F. Didot, 1821 |
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... plein d'indul- << gence pour ses tendres élèves , leur donne une douce « < nourriture , et les laisse se remplir de ce qu'il y a de plus agréable et de plus fleuri comme d'un lait déli- « < cieux ..... Permettons - leur de s'égayer un ...
... plein d'indul- << gence pour ses tendres élèves , leur donne une douce « < nourriture , et les laisse se remplir de ce qu'il y a de plus agréable et de plus fleuri comme d'un lait déli- « < cieux ..... Permettons - leur de s'égayer un ...
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... plein de raisons et de pensées solides . L'élo- quence ajoute à cette clarté et à cette solidité certain agrément , certain éclat ; et c'est ce qu'on appelle or- Multùm ad fidem adjuvat au- dientis voluptas . » ( QUINTIL . lib . 5 , cap ...
... plein de raisons et de pensées solides . L'élo- quence ajoute à cette clarté et à cette solidité certain agrément , certain éclat ; et c'est ce qu'on appelle or- Multùm ad fidem adjuvat au- dientis voluptas . » ( QUINTIL . lib . 5 , cap ...
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... plein de feu : ses yeux , son visage , ses mains en disaient sans doute encore plus que sa langue . Tout d'un coup il s'adoucit , il prend un ton plus tranquille , et finit par les prières , qui dans la bouche d'un père sont plus fortes ...
... plein de feu : ses yeux , son visage , ses mains en disaient sans doute encore plus que sa langue . Tout d'un coup il s'adoucit , il prend un ton plus tranquille , et finit par les prières , qui dans la bouche d'un père sont plus fortes ...
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... plein de confiance à ce troisième combat . L'autre , au contraire , affaibli par le sang qu'il a perdu , et épuisé par la course , traîne à peine , et déja vaincu par la mort de ses frères , comme une vic- time sans défense , présente ...
... plein de confiance à ce troisième combat . L'autre , au contraire , affaibli par le sang qu'il a perdu , et épuisé par la course , traîne à peine , et déja vaincu par la mort de ses frères , comme une vic- time sans défense , présente ...
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... plein de sens et de réflexions solides ; mais il me semble que le style en est trop uniforme , et que l'antithèse s'y montre trop souvent . Les pensées sont trop serrées et trop entas- sées . Elles sont toutes détachées l'une de l'autre ...
... plein de sens et de réflexions solides ; mais il me semble que le style en est trop uniforme , et que l'antithèse s'y montre trop souvent . Les pensées sont trop serrées et trop entas- sées . Elles sont toutes détachées l'une de l'autre ...
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Termos e frases comuns
Athènes atque auditeurs autem barreau beauté Canius carac cause choses Cicéron cœur Ctésiphon déja délicatesse Démarate Démosthène dicendi dicere Dieu dire discours dit-il donner ejus éloquence eloquentiæ endroit enim Eschine esset figures Fléchier force fusum genre gloire goût grace Grecs hæc harangues homme Ibid Idem illa ille illud ipsa Isocrate Itaque jeunes gens juges l'art l'éloquence l'esprit l'orateur magis maître malè manière matière maximè ment mihi Milon modò multa naturel nèbre neque nihil nisi omnes omnia Oraison fu Orat orateurs oratio orator parler parole penè pensées peuple posse presque propre quæ quædam quàm quid quidem QUINT QUINTIL Quintilien quod quum raison rerum rhétorique rien Romains sæpè saint saint Augustin satis sed etiam Sénèque sentir seul sibi simple soin solide sorte style sublime sunt sur-tout tamen tion Tite-Live tùm Turenne verba verborum verò Verrès victoires Xerxès
Passagens mais conhecidas
Página 189 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat! Quoi! toujours les plus grandes merveilles « Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...
Página 198 - Du moins ne permets pas. . . La Mollesse oppressée Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée , Et , lasse de parler, succombant sous l'effort , Soupire , étend les bras , ferme l'œil , et s'endort.
Página 401 - L'homme superbe est renversé, Ses propres flèches l'ont percé. UNE AUTRE. J'ai vu l'impie adoré sur la terre; Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux; II semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.
Página 179 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!
Página 43 - ... ignorer ce qu'il vaut mieux ignorer que punir, et ne punir que rarement et utilement ; pénétrer, par des conduits souterrains, dans l'intérieur des familles, et leur garder les secrets qu'elles n'ont pas confiés, tant qu'il n'est pas nécessaire d'en faire usage ; être présent partout sans être vu ; enfin, mouvoir ou arrêter à son gré une multitude immense et tumultueuse, et être l'âme toujours agissante et presque inconnue de ce grand corps : voilà quelles sont en général les...
Página 124 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Página 46 - Un homme s'est rencontré d'une profondeur d'esprit incroyable , hypocrite raffiné autant qu'habile politique , capable de tout entreprendre et de tout cacher, également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre, qui ne...
Página 102 - Mais la gloire de ses actions efface celle de sa naissance, et la moindre louange qu'on peut lui donner, c'est d'être sorti de l'ancienne et illustre maison de La Tourd'Auvergne, qui a mêlé son sang à celui des rois et des empereurs, qui...
Página 95 - Monsieur votre frère, quelque étrange inégalité que durant leur vie la fortune mette entre eux et les plus grands héros, après leur mort cette différence cesse. La postérité, qui se plaît, qui s'instruit dans les ouvrages qu'ils lui ont laissés, ne fait point de difficulté de les égaler à tout ce qu'il ya de plus considérable parmi les hommes, fait marcher de pair l'excellent poète et le grand capitaine.
Página 189 - O rives du Jourdain! ô champs aimés des cieux ! Sacrés monts, fertiles vallées Par cent miracles signalées! Du doux pays de nos aïeux Serons-nous toujours exilées?