Nouveaux mélanges philosophiques, historiques, critiques, etc. etc, Volume 171775 |
Termos e frases comuns
abfurde affez ainfi auffi avoient avoit befoin Boheme Brandebourg c'eft c'eſt C'étoit Cardinal de Richelieu caufe cent chaffe chofe chrétiens Comte confeil DIEU difputes efprit Electeurs Empereur enfuite eſt Etats éternel étoient étoit facrée fage faifait faint fang fans favez feconde fecours fecret femble fens fent Ferdinand Ferdinand III fervir feul Fidler fiècles fille foit foleil fommes fon fils font Fontaine fous fouvent FREDERIC fuis fujet furtout Goudman guerre Guftave Hongrie Impériaux jamais JESUS jufqu'à Juifs l'Allemagne l'Electeur de Saxe l'Electeur Palatin l'Em l'Empereur l'Empire l'Eſpagne laiffa Léopold ligue catholique loix Louis XIV Maifon d'Autriche Mansfeld mille hommes Miniftres monfieur mort n'avoit n'eft néceffaire paffer paix Pape penfer père pereur perfonne plaifir plufieurs Pologne pouvoit préfent prefque Prince Proteftants puiffance puiffant raifon Ratisbonne refte religion rien Romains Saxe Sidrac Siléfie Suede Suédois tems Tertullien Treves troupes Turcs Valftein Veftphalie Veimar
Passagens mais conhecidas
Página 237 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Página 223 - J'ai quelquefois aimé : je n'aurais pas alors Contre le Louvre et ses trésors, Contre le firmament et sa voûte céleste, Changé les bois, changé les lieux Honorés par les pas, éclairés par les yeux De l'aimable et jeune bergère Pour qui, sous le fils de Cythère, Je servis, engagé par mes premiers serments.
Página 233 - Il est bien vrai que ce divin esprit Plus que pas un me donne de pratique: Mais, comme il faut manger de plus d'un pain, Je puise encore en un vieux magasin; Vieux, des plus vieux, où Nouvelles nouvelles Sont jusqu'à cent, bien déduites et belles Pour la plupart, et de très bonne main.
Página 239 - Il créa des humains à lui-même semblables, Afin de les mieux avilir ; II nous donna des cœurs coupables, Pour avoir droit de nous punir; II nous fit aimer le plaisir, Pour nous mieux tourmenter par des maux effroyables, Qu'un miracle éternel empêche de finir.
Página 232 - Qui ne connaisse encor ni le mal ni le bien. — Prenons, dit le Romain, la fille de notre hôte; Je la tiens pucelle sans faute, Et si pucelle qu'il n'est rien De plus puceau que cette belle: Sa poupée en sait autant qu'elle.
Página 242 - II console en secret les cœurs qu'il illumine ; Dans les plus grands malheurs il leur offre un appui ; Et si sur l'imposture il fonde sa doctrine, C'est un bonheur encor d'être trompé par lui.
Página 245 - Vous ne l'avez point pris, et vous deviez le prendre. Je ne suis point méchant, et j'ai l'âme assez tendre. Composons, s'il vous plaît. Payez dans ce moment Deux mille écus tournois par accommodement.
Página 217 - Qui querelle et qui bat sa femme. Voyez-vous ce galant qui les montre du doigt ? Au palais de Vénus il s'en allait tout droit, Espérant y trouver le sujet qui l'enflamme.
Página 223 - Aux vieilles gens sont inhumaines. Je ne vous réponds pas qu'encor Je n'emploie un peu de votre or A payer la brune et la blonde.