Parijs 1891

Capa
Van Doesburgh, 1892 - 278 páginas
 

Páginas selecionadas

Outras edições - Ver todos

Termos e frases comuns

Passagens mais conhecidas

Página 126 - Noyez mon âme aux flots de votre Vin. Fondez ma vie au Pain de votre table, Noyez mon âme aux flots de votre Vin.
Página 102 - Quoi! nulle trahison? Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi. Sans amour et sans haine, Mon cœur a tant de peine.
Página 126 - Voici mon front qui n'a pu que rougir, Pour l'escabeau de vos pieds adorables, Voici mon front qui n'a pu que rougir. Voici mes mains qui n'ont pas travaillé, Pour les charbons ardents et l'encens rare. Voici mes mains qui n'ont pas travaillé. Voici mon cœur qui n'a battu qu'en vain, Pour palpiter aux ronces du Calvaire, Voici mon coeur qui n'a battu qu'en vain.
Página 126 - Dieu de terreur et Dieu de sainteté, Hélas ! ce noir abîme de mon crime, Dieu de terreur et Dieu de sainteté, Vous, Dieu de paix, de joie et de bonheur, Toutes mes peurs, toutes mes ignorances, Vous, Dieu de paix, de joie et de bonheur, . . . Vous connaissez tout cela, tout cela, Et que je suis plus pauvre que personne, Vous connaissez tout cela, tout cela, Mais ce que j'ai, mon Dieu, je vous le donne.
Página 125 - Dieu, vous m'avez blessé d'amour Et la blessure est encore vibrante, O mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour.
Página 126 - Voici mon sang que je n'ai pas versé, Voici ma chair indigne de souffrance, Voici mon sang que je n'ai pas versé. Voici mon front qui n'a pu que rougir, Pour l'escabeau de vos pieds adorables, Voici mon front qui n'a pu que rougir. Voici mes mains qui n'ont pas travaillé, Pour les charbons ardents et l'encens rare, Voici mes mains qui n'ont pas travaillé. Voici mon cœur qui n'a battu qu'en vain, Pour palpiter aux ronces du Calvaire, Voici mon cœur qui n'a battu qu'en vain. Voici mes pieds,...
Página 85 - Pélréa, génisse indocile au servage, Moins douce est la saveur de la pomme sauvage Que ta bouche. Contre des hommes belliqueux que la trompette enivre, Mes bras tendirent l'arc d'aubier où la sagette vibre ; Mais ils sauront aussi s'illustrer d'une lutte Plus bénigne, ô Pétrée, et j'appris les secrets Des pertuisés roseaux et de la curve flûte. C'est temps nouveau quand de ses traits Diane n'ensanglante les forêts, C'est quand Jouvence fait à Dioné
Página 85 - C'est quand Jouvence fait à Dioné' service. 0 gracieuse enfant, que clairs et simples sont tes yeux ! Déjà, l'astre de Bérénice Guide vers l'Occident le Bouvier paresseux. Pour que tu cèdes à mes pleurs, Ma main a dévidé des fils de sept couleurs. Chantant l'air redouté, J'ai répandu la cendre Des herbes de bonté. La voix du rossignol fait ton âme plus tendre, Et le favone agace, comblant mes vœux, La couronne de pin qui mêle tes cheveux...
Página 14 - Va prier pour ton père ! — Afin que je sois digne De voir passer en rêve un ange au vol de cygne, Pour que mon âme brûle avec les encensoirs ! Efface mes péchés sous ton souffle candide, Afin que mon cœur soit innocent et splendide Comme un pavé d'autel qu'on lave tous les soirs I III Prie encor pour tous ceux qui passent Sur cette terre des vivants!
Página 85 - C'est temps nouveau quand de ses traits Diane n'ensanglante les forêts. C'est quand Jouvence fait à Dioné' service. O gracieuse enfant, que clairs et simples sont tes yeux ! Déjà, l'astre de Bérénice Guide vers l'Occident le Bouvier paresseux. Pour que tu cèdes à mes pleurs, Ma main a dévidé des fils de sept couleurs.

Informações bibliográficas