Essai d'un glossaire occitanien: pour servir à l'intelligence des poésies des troubadours

Capa
Chez Benichet cadet, Imprimeur-libraire., 1819 - 334 páginas
 

Páginas selecionadas

Outras edições - Ver todos

Passagens mais conhecidas

Página 28 - Et intravit cum illis. Et factum est, dum recumberet cum eis, accepit panem, et benedixit, ac fregit, et porrigebat illis. Et aperti sunt oculi eorum, et cognoverunt eum : et ipse evanuit ex oculis eorum. Et dixerunt ad invicem : Nonne cor nostrum ardens erat in nobis, dum loqueretur in via, et aperiret nobis scripturas?
Página v - S'il existe des langues mères , l'occitanien n'est pas de ce nombre ; car , malgré l'altération de ses traits , sa physionomie trahit son origine , et son air de famille prouve assez évidemment qu'il est dérivé du latin. Comment cet étranger at-il pu chasser l'enfant de la maison ? C'est la première question qui se présente , et qu'il faut essayer de résoudre par la voie de la discussion.
Página xlviii - De ce qui précède on est autorisé à induire que les manuscrits du Roman de Gérard de Rossillon étaient autrefois assez répandus. Le chroniqueur Jacques de Guise , avant d'entamer le récit des aventures de notre héros , s'exprime ainsi : De isto Gerardo aliqua reperi in...
Página xiii - Toute nation cultivant les sciences a , pour ainsi dire , deux langues , l'une littéraire et l'autre vulgaire ; ou , si l'on veut , l'une à l'usage de la classe éclairée , l'autre à l'usage du peuple. La première , est celle que les auteurs emploient dans leurs écrits , sur lesquels les dictionnaires ont été composés.
Página xiv - Yicenza, 1629 ; iu-fol. lib. i ; с. i. la nation , elle devient générale , si par quelque révolution le gouvernement change , ou si les études sont abandonnées , ainsi que cela était arrivé antérieurement à nos troubadours. Quand les Romains envoyèrent des colonies dans les Gaules , il est probable que les chefs se servaient de la langue élégante et polie de...
Página xxxiii - Sanchez, etc. Tous s'accordent à donner le nom de Limousins aux poètes qui ont composé des vers en cet idiome , et au catalan, le nom de langue limousine , parce qu'ils prétendent que c'est à Limoges qu'elle avait pris naissance : ce qu'aucun d'eux ne s'est embarrassé de prouver.
Página 179 - CUM autem descendisset de monte, secutae sunt eum turbae multae : et ecce leprosus veniens, adorabat eum, dicens : Domine, si vis, potes me mundare. Et extendens Jesus manum, tetigit eum, dicens : Volo.
Página xliv - A la suite du mot occitanien , nous avons placé le mot français qui lui répond , et quelquefois le mot latin , quand celui-ci pouvait servir à marquer la correspondance des deux langues. Nous voulions d'abord avertir de l'addition , du retranchement , de la transposition des lettres et des syllabes , qui pour l'ordinaire défigurent un mot au point de le rendre méconnaissable ; mais cet ouvrage étant fait pour les savans , ils apercevront aisément ces diverses altérations.
Página 282 - ... cendal que debía pagar sólo 6 dineros (en A. de Capmany, Memorias sobre el Comercio de Barcelona, II 1779, P- 8). Ramón Vidal, nos pinta á la reina Leonor, mujer de Alfonso VIII de Castilla: «Estrecha vene en un mantel D'un drap de seda bon e bel Que hom apela sisclató» Unas novas (en Milíí, Obras II 133). || 'vestido hecho de esa tela de seda' 2721, 2739, 2744; parece sinónimo de brial (víase), aunque Godefroy, Dict.
Página xiii - La seconde , seulement parlée , n'a besoin pour être apprise que des secours d'une nourrice ; nous la suçons en quelque sorte avec le lait. Indépendante des caprices de la mode , sa tradition est toujours constante et fidèle. Appartenant à la masse de (i) Délia volgare eloquenza.

Informações bibliográficas