| François Guizot - 1865 - 566 páginas
...Bugeaud se terminait par ces paroles : « Ce sont là, monsieur le maréchal, de ces opérations que Y on entreprend quand on y est forcé, mais que l'on prie Dieu de n'avoir jamais à recommencer. » Ce lamentable récit produisit partout la pire douloureuse impression. Les journaux en retentirent.... | |
| Guizot (M., François) - 1865 - 564 páginas
...caverne. » Le rapport du colonel Pélissierau maréchal Bugeaud se terminait par ces paroles : « Ce sont là, monsieur le maréchal, de ces opérations...que l'on prie Dieu de n'avoir jamais à recommencer. » Ce lamentable récit produisit partout la plus douloureuse impression. Les journaux en retentirent.... | |
| François Guizot - 1865 - 568 páginas
...caverne. » . Le rapport du colonel Pélissierau maréchal Bùgeaud se terminait par ces paroles : « Ce sont là, monsieur le maréchal, de ces opérations...entreprend quand on y est forcé, mais que l'on prie Dieu dé n'avoir jamais à recommencer. » Ce lamentable récit produisit partout la plus douloureuse impression.... | |
| Henri Amédée Lelorgne Ideville (comte d'.) - 1882 - 492 páginas
...concours au colonel Saint-Arnaud. Après avoir pesé tous ces partis, il se décida à employer le mogen qui lui avait été recommandé par le gouvernement...maréchal Soult, ministre de la guerre, « manqua, dit M. Guizot, dans cette occasion, de sa présence d'esprit et de son autorité accoutumées. Il exprima... | |
| Paul Thureau-Dangin - 1892 - 448 páginas
...être sauvés. « Ce sont là, écrivait le colonel Pélissier à la fin de son rapport, ce sont là de ces opérations que: l'on entreprend quand on y est forcé, mais que l'on prie Dieu de n'avoir à recommencer jamais. » Aussitôt connu en France, cet événement y souleva une douloureuse émotion... | |
| Paul Augustin Farochon - 1892 - 256 páginas
...par le respect de la hiérarchie : « Ce sont là, monsieur le maréchal, de ces opérations qu'on entreprend quand on y est forcé, mais que l'on prie Dieu de n'avoir à recommencer jamais ! » Ce quand on y est fofcé, qui résumait si bien la surprise et la tristesse... | |
| Emile Ollivier - 1898 - 678 páginas
...jeune Pélissier en Morée, d'intéressants détails. tions que l'on entreprend, dit-il, quand l'on y est forcé, mais que l'on prie Dieu de n'avoir jamais à recommencer. » Le maréchal Soult ayant blâmé le colonel, Bugeaud le couvrit : « S'il ya justice à faire, c'est... | |
| 1898 - 996 páginas
...cinq cents Arabes sont enfumés. « Ce sont là des opérations que Ton entreprend, dit-il, quand l'on y est forcé, mais que l'on prie Dieu de n'avoir jamais à recommencer. » Le maréchal Soult ayant blâmé le colonel, Bugeaud le couvrit: « S'il ya justice à faire, c'est... | |
| Maurice Quatrelles L'Épine - 1928 - 554 páginas
...assistants de stupeur. « Ce sont là, monsieur le maréchal, disait le colonel Pélissier dans son rapport, de ces opérations que l'on entreprend quand on y est forcé, mais que l'on prie Dieu de n'avoir à recommencer jamais. » Saint-Arnaud frémit à la pensée qu'il aurait pu avoir à exécuter une... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1888 - 970 páginas
...assistai» de etapeor. « Ce soot là, monsieur le maréchal, a dit le colonel Pélissier dans son rapport, de ces opérations que l'on entreprend quand on y est forcé, mais que l'on prie Dieu de n'avoir à recommencer jamais. » Le tragique événement fut vivement eommeaté en France et «u dehors, interpellé... | |
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