Collection complète des mémoires relatifs à l'histoire de France, depuis le règne de Philippe-Auguste, jusqu'au commencement du dix-septième siècle: avec des notices sur chaque auteur, et des observations sur chaque ouvrage |
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Termos e frases comuns
affaires arriva assez auroit avant avoient avoit c'étoit cardinal chambre chargé chercher chevalier choses comte conduite conseil consentit cour Czar d'autres d'en d'être demanda dessein devoit dire donner duc du Maine duchesse du Maine enfin esprit état étoient étoit faisoit falloit femme fille fils force fort fût garde général gens guerre homme j'ai j'avois j'étois jour jugea jusqu'à l'abbé l'esprit laisser lettre lieu long-temps m'en madame la duchesse mademoiselle maison malheur maréchal mari marquis Menil ment mieux mille ministre mois monde mort moyen n'avoit n'en nouvelle ordre parler passer passion peine pendant penser personne place Pompadour porter pouvoit premier présenter prince princesse pris prit propos propre Prusse qu'à qu'un Reine rendit rendre réponse reste rien s'en s'il sais Sceaux secret sentimens sentir seroit servir seule Silly soin sorte souvent suite suivi tion tirer traité trouver vint vouloit voulut voyant vues
Passagens mais conhecidas
Página 206 - il a fallu la déloger aujourd'hui. Notez que ce lit. « elle lavoit fait elle-même, faute de gens, et avoit « trouvé un défaut de dans les matelas; ce qui, « je crois, a plus blessé son esprit exact que son corps « peu délicat.... Nos nouveaux hôtes vont faire
Página 208 - une lettre de quatre pages; de plus, « un billet dans le même paquet, qui m'annonce un « grand désarroi. M. de Voltaire a égaré sa pièce, « oublié de retirer les rôles, et perdu le prologue. « II m'est enjoint de retrouver le tout; d'envoyer au « plus vite le prologue, non par la poste, parce qu'on
Página 208 - de garder les rôles, crainte du même « accident, et d'enfermer la pièce sous cent clefs. « J'aurois cru un loquet suffisant pour garder ce tré« sor. J'ai bien et dûment exécuté les ordres reçus. » Madame de Staal saisissoit très-bien les ridicules, et les peignoit avec beaucoup de malice et d'originalité
Página 31 - année où les pluies perdirent la récolte, on porta en procession la châsse de sainte Geneviève : « Le peuple est fou, disoit-elle; ne sait-il pas que « c'est moi qui fais la pluie et le beau temps? » Sur les représentations des Etats généraux, on fit des modifications en faveur des négocians étrangers établis en France, et des protestans d'Alsace, dont les
Página 207 - qu'elle réitère chaque année; sans quoi ils « pourroient s'échapper, et peut-être s'en aller si loin, « qu'elle n'en retrouveroit pas un seul. Je crois bien « que sa tête est pour eux une maison de force, et
Página 205 - le titre de Correspondance inédite de madame Du Deffand. « surprise dans son camp, laissant une partie de son « bagage au pouvoir de l'ennemi. Voltaire s'est bien « trouvé du gîte : cela n'a point du tout consolé Gaya.
Página 69 - dignes de son rang, et lui demanda son agrément pour le mariage de son petit-fils avec la princesse Menzikoff, fille aînée de ce ministre. Il s'étoit fait créer vicaire général de l'Empire. Sa fille fut fiancée avec le jeune Czar, en attendant l'âge de consommer le mariage. Menzikoff, craignant l'esprit inquiet d'Eudoxie,
Página 326 - hormis toi, ne trouve rien d'aimable : Et, par un charme inconcevable, Avec ce qui rendroit une autre abominable, Tu trouves le moyen de te faire adorer. Que ne te dois-je point? Sans toi, dans l'indolence Couloient mes derniers jours à la nuit destinés, Par la nature condamnés Aux
Página 365 - sent mois, de renvoyer le prince Cellamare, am« bassadeur du roi d'Espagne, et d'ordonner qu'un « gentilhomme ordinaire de sa maison l'accompagne « jusqu'à la frontière d'Espagne, on a fait imprimer « les copies des deux lettres de cet ambassadeur à « M. le cardinal Alberoni, des premier et 2 du pré« sent mois, signées par ledit ambassadeur, et
Página 140 - par laquelle les Français, restant maîtres de l'électoral d'Hanovre, du landgraviat de Bremen, et de la principauté de Verden, les troupes de Brunswick , de Hesse, de Saxe-Gotha, et généralement tous les alliés d'Hanovre, devoient se retirer dans leurs pays respectifs, garder la plus parfaite neutralité jusqu'à la fin de la guerre, et que