Friedrich von Hagedorn und seine Bedeutung für die deutsche Literatur: eine literarhistorische Abhandlung

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Druck von Sturm & Koppe, 1882 - 93 páginas
 

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Passagens mais conhecidas

Página 56 - Et le financier se plaignait Que les soins de la Providence N'eussent pas au marché fait vendre le dormir, Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait venir Le chanteur, et lui dit : Or ça, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an ! ma foi, monsieur...
Página 56 - Le savetier crut voir tout l'argent que la terre Avait depuis plus de cent ans, Produit pour l'usage des gens. Il retourne chez lui : dans sa cave il enserre L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant : il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis : II eut pour hôtes les soucis.
Página 56 - J'attrape le bout de l'année; Chaque jour amène son pain. — Eh bien ! que gagnez-vous, dites-moi, par journée? — Tantôt plus, tantôt moins: le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer; on nous ruine en fêtes; L'une fait tort à l'autre; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Página 47 - Es ist ein hartes Wort und dennoch sag ichs, weil es Wahrheit ist : ich kann kein Volk mir denken, das zerrißner wäre, wie die Deutschen. Handwerker siehst du, aber keine Menschen, Denker, aber keine Menschen, Priester, aber keine Menschen, Herrn und Knechte, Jungen und gesetzte Leute, aber keine Menschen - ist das nicht, wie ein Schlachtfeld, wo Hände und Arme und alle Glieder zerstückelt untereinander liegen, indessen das vergoßne Lebensblut im Sande zerrinnt?
Página 56 - Que gagnez-vous par an? — Par an! ma foi, monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gaillard savetier, ce n'est point ma manière De compter de la sorte; et je n'entasse guère Un jour sur l'autre: il suffit qu'à la fin J'attrape le bout de l'année; Chaque jour amène son pain.
Página 56 - L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant: il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis : II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines. Tout le jour il avait l'œil au guet ; et la nuit, Si quelque chat faisait du bruit, Le chat prenait l'argent. A la fin le pauvre homme S'en courut chez celui qu'il ne réveillait plus ('). « Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme, Et reprenez vos cent écus.
Página 50 - Ich glaube derowegen, eine Fabel am besten zu beschreiben, wenn ich sage: sie sey die Erzählung einer unter gewissen Umständen möglichen, aber nicht wirklich vorgefallenen Begebenheit, darunter eine nützliche moralische Wahrheit verborgen liegt.
Página 32 - Aber süßer ist noch, schöner und reizender, In dem Arme des Freunds wissen, ein Freund zu sein! So das Leben genießen, Nicht unwürdig der Ewigkeit!
Página 74 - Auf! ladet hier den Gott der Liebe, Auf! ladet hier die Freuden ein. Umkränzt mit Rosen eure Scheitel (Noch stehen euch die Rosen gut), Und nennet kein Vergnügen eitel, Dem Wein und Liebe Vorschub tut.
Página 79 - In Busch und Wald, Wo schon der Hirten Flöte Ins Land erschallt. Die Lerche steigt und schwirret, Von Lust erregt; Die Taube lacht und girret, Die Wachtel schlägt.

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