Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1880 |
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Revue des deux mondes François Buloz,Charles Buloz,Ferdinand Brunetière,Francis Charmes,René Doumic,André Chaumeix Visualização completa - 1831 |
Termos e frases comuns
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Passagens mais conhecidas
Página 281 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Página 525 - A l'époque la plus cruelle de la révolution, et pendant une nuit de ma détention au Luxembourg, Charlemagne m'est apparu et m'a dit : Depuis que le monde existe, aucune famille n'a joui de l'honneur de produire un héros et un philosophe de première ligne; cet honneur était réservé à ma maison. Mon fils, tes succès, comme philosophe, égaleront ceux que j'ai obtenus comme militaire et comme politique, et il a disparu.
Página 723 - Per lei assai di lieve si comprende Quanto in femmina fuoco d'amor dura, Se l'occhio, o il tatto spesso noi raccende.
Página 668 - Fiat, ne produirait-elle pas dans votre âme royale un désir digne de votre Majesté pour subvenir à une calamité si grande? Et cependant cela est tellement véritable que je confisque à votre Majesté mon bien et mes offices si je suis convaincu de mensonge...
Página 652 - Dans le choix de ses gouvernaos le peuple ne consultait que sa propre utilité. Le roi est fait pour le peuple, et non le peuple pour le roi. S'il en est parfois autrement, c'est que le prince, au lieu d'être un bon berger, est un loup qui mange son troupeau.
Página 669 - J'ai honte, Sire, de vous dire les termes qui de nouveau nous ont offensés. Ils comparent votre Etat à une famille composée de trois frères. Ils disent l'ordre ecclésiastique être l'aîné, le nôtre le puîné, et eux les cadets. En quelle misérable condition sommes-nous tombés, si cette parole est véritable?
Página 525 - ... dans les forêts. Mon père, qui remarqua l'impatience du roi à relayer, imagina de lui tourner le cheval qu'il lui présentait, la tête à la croupe de celui qu'il quittait. Par ce moyen le roi , qui était dispos , sautait de l'un sur l'autre sans mettre pied à terre , et cela était fait en un moment. Cela lui plut, il demanda toujours ce même page à son relais; il s'en informa, et peu à peu il le prit en affection.
Página 723 - M'étant aperçu de ce trouble , je levai les yeux et «j'aperçus une noble et jeune dame fort belle qui, du « haut d'une fenêtre, observait mes traits avec tant de « compassion, qu'il semblait que la pitié tout entière fût « en elle. «Comme il arrive aux malheureux d'être prompts « à pleurer, quand les autres semblent s'intéresser à eux, «je sentis alors que mes yeux voulaient se mouiller de
Página 543 - M. son fils s'approcha d'elle comme il faisait tous les jours pour lui baiser la main. En ce moment Madame lui appliqua un soufflet si sonore qu'il fut entendu de quelques pas, et qui, en présence de toute la cour, couvrit de confusion ce pauvre prince, et combla les infinis spectateurs, dont j'étais, d'un prodigieux étonnement.
Página 80 - Curchod un[e]* commission" dont je m'acquitterai mal, précisément à cause de mon estime pour elle. Le refroidissement de M. Gibbon me fait mal penser de lui; j'ai revu son livre", il y court après l'esprit, il s'y guindé.