 | Joachim Du Bellay - 1867 - 612 páginas
...lyre Puiffe acquerir telle immortalité? Si fous le ciel fujt quelque eternité, Les monuments que ie vous ay fait dire, Non en papier, mais en marbre & porphyre, Euffent gardé leur viue antiquité. Ne laiffe pas toutefois de fonner Luth, qu'Apollon m'a bien daigné donner : Car ji le temps ta gloire... | |
 | Joachim Du Bellay - 1867 - 608 páginas
...lyre Puiffe acquerir telle immortalité? Si fous le cielfuft quelque eternité, Les monuments que ie vous ay fait dire, Non en papier, mais en marbre &...gardé leur viue antiquité. Ne laiffepas toutefois defonner Luth, qu'Apollon m'a bien daigné donner : Car fi le temps ta gloire ne defrobbe, Vanter te... | |
 | Charles Joseph Marty-Laveaux - 1867 - 634 páginas
...lyre Puiffe acquerir telle immortalité? Si fous le ciel fuft quelque eternité, Les monuments que ie vous ay fait dire, Non en papier, mais en marbre &...porphyre, Euffent gardé leur viue antiquité. ' Ne laiffe pas toutefois de fonner Luth, qu'Apollon m'a bien daigné donner : Car fi le temps ta gloire... | |
 | Joachim Du Bellay - 1910 - 346 páginas
...Puisse acquérir telle immortalité ? Si sous le ciel fusl quelque éternité, Les monuments que je vous ay fait dire, Non en papier, mais en marbre & porphyre, Eussent gardé leur vive antiquité. Ne laisse pas toutefois de sonner, Luth, qu'Apollon m'a bien daigné... | |
 | Z. R. W. M. von Martels - 1994 - 280 páginas
...lyre Puisse acquerir telle immortalit6? Si sous le ciel fust quelque eternit6, Les monuments que je vous ay fait dire. Non en papier, mais en marbre & porphyre, Eussent gard6 leur vive antiquit6. Ne laisse pas toutefois de sonner Luth, qu'Apollon m'a bien daign6... | |
 | 2002 - 410 páginas
...lyre Puisse acquérir telle immortalité? Si sous le ciel fust quelque éternité, Les monuments queje vous ay fait dire, Non en papier, mais en marbre & porphyre, Eussent gardé leur vive antiquité. Ne laisse pas toutefois de sonner, Luth, qu'Apollon m'a bien daigné... | |
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Ne laisse pas toutefois de sonner, Luth, qu'Apollon m'a bien daigné donner, Car si le temps ta gloire ne desrobbe, Vanter te peux, quelque bas que tu sois, D'avoir chanté, le premier des François, L'antique honneur du peuple à longue robbe. 