Oeuvres complètes: Contes moraux ; 4. 6Verdière, 1818 - 401 páginas |
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Termos e frases comuns
Achéménès aime amant Ambroisine amour anneau de Gygès Aspase assez asyle aurait avez Basylide bergers bonté bras c'était Cérès cher Ciel Cléanthe Cléomède Closière cœur Contes moraux courage crime croyez cruel d'Orcilly Damon Damon et Pythias déja demanda Dieu dieux dis-je dit-il douleur doux Edmont enfants époux êtes eût femme fille fils Flozen Formose frère Gisors Hélas heureux innocente j'ai j'avais j'en jamais jeune homme jeunesse jour l'ame l'amour l'autre l'esprit l'homme l'un laisse larmes Léonce Liriope lois long-temps lui-même Lycaste Lycoris Lygdus m'avait m'en madame Geoffrin main Mairan malheur ment mère moi-même monde monsieur mourir Murcie Myrtis n'en nature Néosine Palémon pardonne passé peine pensée père Persépolis petit berger peuple Platon pleurs qu'un répondit reprit reste rien s'il sage sais secret sensible sentiment serait seul Séville silence sœur soin sur-tout Valérie Vélamare venir veux vieillard village voilà vois voulez yeux
Passagens mais conhecidas
Página 258 - Flozen , sont celles qui rendent le plus grand nombre le plus heureux qu'il est possible. — Le moins malheureux, reprit Mairan , c'est là ce qui est juste et vrai, car cela seul est dans la nature ; le surplus n'est qu'un faux appât ; et le plus perfide ennemi du peuple sera celui qui lui offrira , pour leurre , l'envie et l'espérance d'un degré de bonheur auquel il n'atteindra jamais. Partout, dans tous les temps , la condition du plus grand nombre sera...
Página 110 - Un temple magnifique où de jeunes tilleuls, transplantés avec leur racine , formaient un double péristyle, et courbaient leurs rameaux naissans ornés 'd'une tendre verdure; un autel du plus beau gazon qui eût bordé le lit de l'-Alphée , et ce gazon tout émaillé de fleurs; des guirlandes que des bergères, Lycoris à leur tête, avaient tissues et nuancées, avec un art inimitable , de toutes les couleurs dont se revêt le printemps ; une harmonie ravissante de flûtes , de hautbois, et de...
Página 215 - Mais quand vint pour eux l'âge des passions et de l'indépendance, il n'y eut pour lui plus de repos qu'il ne les eût émancipés. Ils voulurent se marier tous les trois à leur fantaisie, et rien n'était plus naturel ; car c'est ainsi que les animaux, en disposant d'eux-mêmes, se choisissent l'un l'autre. «C'est encore ainsi, disaient-ils, que s'apparient les sauvages; » et le père n'eut pas un mot à répliquer.
Página 217 - C'est moi, oui, c'est moi... mais j'en suis puni. Dites-leur que j'en suis puni; dites-leur que je suis leur père. Malheureux père! il les a trompés; mais il était bon père.