Histoire universelle des théâtres de toutes les nations, depuis Thespis jusau'à nos jours: Jeux des aniciens. Origine de la tragédie. Théâtre des GrecsLes auteurs, la veuve Duchesne, 1779 |
Termos e frases comuns
Achille affez Agamemnon ainfi Alcefte Andromaque Apollon Argos Athéniens auffi Bachus c'eft c'eſt Calchas caufe ceffe cher Chœur chofe Clytemnestre compofa Créon Creüfe cruel Cyclope d'Achille d'Euripide d'Orefte Déeffe déja Dieu Dieux dit-il douleur échaper efclave Electre enfans époufe eſt Euripide facrée facrifice faifait fang fans fauver fcène fe retire fecond fecret fein felon femmes fent fervir feul fille fœur foit fon époux fon fils fon frère fon père font fous fuis fuite fuivant fujet funefte Grecs Hécube Hélène infortunée Iphigénie Jafon jufqu'à Jupiter laiffe larmes Mafques maifon malheureux Médée Ménélas mère mort n'eft n'eſt Orefte OREST Oreſte paffer Palais Pâris Penthée Père Brumoy Phèdre Pièce pleurs plufieurs Poète Polynice Polyphême Polyxène préfente preffe Prince Princeffe Pylade Pyrrhus qu'Euripide refte Rhéfus s'écrie s'eft Satyres ſes Silène ſon Sophocle tems Thèbes Théfée tombeau Tragédie trifte Troye Troyens Tyran Ulyffe vaiffeau venger veut victime
Passagens mais conhecidas
Página 62 - Avare du secours que j'attends de tes soins, Mes vœux t'ont réservé pour de plus grands besoins. Je t'implore aujourd'hui. Venge un malheureux père. J'abandonne ce traître à toute ta colère ; Etouffe dans son sang ses désirs effrontés : Thésée à tes fureurs connaîtra tes bontés.
Página 91 - Cette soif de régner que rien ne peut éteindre, L'orgueil de voir vingt rois vous servir et vous craindre, Tous les droits de l'empire en vos mains confiés, Cruel ! c'est à ces dieux que vous sacrifiez...
Página 92 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père. C'est moi qui, si long-temps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux ; Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Página 61 - Et toi, Neptune, et toi, si jadis mon courage D'infâmes assassins nettoya ton rivage, Souviens-toi que, pour prix de mes efforts heureux, Tu promis d'exaucer le premier de mes vœux.
Página 69 - Heureux qui fatisfait de fon humble fortune , Libre du joug fuperbe où je fuis attaché , Vit dans l'état obfcur où les Dieux l'ont caché!
Página 84 - C'est vous que nous cherchions sur ce funeste bord; Et votre nom, seigneur, l'a conduite à la mort. Ira-t-elle, des dieux implorant la justice, Embrasser leurs autels parés pour son supplice?
Página 165 - Mafque , le vieillard auftcre d'avec le vieillard indulgent -, les jeunes gens qui font fages « d'avec ceux qui font débauchés ; une jeune fille d'avec une femme de dignité. Si le père , des intérêts duquel il s'agit principalement dans la Comédie , doit être quelquefois content , & quelquefois fâché: il a un des fourcils de fon Mafque froncé , & l'autre rabattu...
Página 33 - Je devais donc de toi ne revoir que la cendre ! Ah ! qu'il eût mieux valu , dans l'âge le plus tendre, Périr avec ton père , hélas ! et du berceau Descendre à ses...
Página 68 - Il n'est point de serpent ni de monstre odieux Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Página 156 - Satyriques ± il ne faut pas prendre , dans la partie que font les Satyres , la couleur ni le ton de la Tragédie , il ne faut pas prendre non plus le ton de la Comédie. Davus eft trop rufé ; une Courtifanne qui excroque un talent à un vieil avare tout fin qu'il eft ,. eft trop fubtile.