Explication des tit, XVIII, LIV. III du Code Napoléon, contenant l'analyse critique des auteurs et de la jurisprudence, ou Commentaire-traité théorique et pratique des priviléges et hypothèques et de l'expropriation forcée mis en rapport avec la loi sur la transcription, Volume 2 |
Termos e frases comuns
1er février 23 mars acte article aurait bordereaux caution Code de commerce Code de procédure Code Napoléon condition consentie conservateur conservateur des hypothèques contrat Cour de cassation créancier subrogé créanciers hypothécaires créanciers inscrits d'aliéner Dalloz date débiteur déclaration délai délaissement délaisser disposition doit domicile Duranton effet énonciations faillite femme fév formalités gage garantie hypo immeubles inscription intérêts janv jour judiciaire jugement juill Junge jurisprudence l'acquéreur l'acte l'adjudication l'art l'expropriation l'hypo l'hypothèque conventionnelle l'hypothèque légale l'immeuble grevé l'inscription prise l'interdit l'obligation législateur loi du 23 mainlevée mariage Martou nº ment mention meubles mineur notifications nouveau propriétaire nullité ouverture de crédit payement Persil art pothèque prescription principe propriété publicité purge radiation registres règle réméré requérir requise résulte scription serait seulement sommation somme spéciale stellionat stipulation suiv suprà surenchère sûreté termes thèque tiers acquéreur tiers détenteur tion titre transcription tribunal Troplong nº tutelle tuteur vendeur vente Zachariæ
Passagens mais conhecidas
Página 613 - La femme, même non commune ou séparée de biens, ne peut donner, aliéner, hypothéquer, acquérir, à titre gratuit ou onéreux, sans le concours du mari dans l'acte, ou son consentement par écrit.
Página 999 - Les inscriptions sont rayées du consentement des parties intéressées et ayant capacité à cet effet , ou en vertu d'un jugement en dernier ressort ou passé en force de chose jugée.
Página 688 - Le débiteur ne peut plus réclamer le bénéfice du terme lorsqu'il a fait faillite, ou lorsque par son fait il a diminué les sûretés qu'il avait données par le contrat à son créancier.
Página 1076 - Le tiers détenteur qui a payé la dette hypothécaire, ou délaissé l'immeuble hypothéqué, ou subi l'expropriation de cet immeuble, a le recours en garantie, tel que de droit, contre le débiteur principal.
Página 666 - Il n'ya d'hypothèque conventionnelle valable que celle qui, soit dans le titre authentique constitutif de la créance, soit dans un acte authentique postérieur, déclare spécialement la nature et la situation de chacun des immeubles actuellement appartenant au débiteur, sur lesquels il consent l'hypothèque de la créance. Chacun de tous ses biens présents peut être nominativement soumis à l'hypothèque.
Página 951 - Le créancier inscrit pour un capital produisant intérêt ou arrérages a droit d^être colloque pour deux années seulement, et pour l'année courante, au même rang d'hypothèque que pour son capital; sans préjudice des inscriptions particulières à prendre, portant hypothèque à compter de leur date, pour les arrérages autres que ceux conservés par la première inscription.
Página 624 - Jusqu'à la transcription, les droits résultant des actes et jugements énoncés aux articles précédents ne peuvent être opposés aux tiers qui ont des droits sur l'immeuble et qui les ont conservés en se conformant aux lois.
Página 623 - La partie saisie ne peut , à compter du jour de la transcription de la saisie , aliéner les immeubles saisis, à peine de nullité, et sans qu'il soit besoin de la faire prononcer.
Página 1001 - Les jugemens qui prononceront une main-levée , une radiation d'inscription hypothécaire , un paiement , ou quelque autre chose à faire par un tiers ou à sa charge , ne seront exécutoires par les tiers ou contre eux, même après les délais de l'opposition ou de l'appel , que sur le certificat de l'avoué de la partie poursuivante , contenant la date de la signification du jugement faite au domicile de la partie condamnée, et sur l'attestation du greffier constatant qu'il n'existe contre le...
Página 613 - Les femmes marchandes publiques peuvent également engager, hypothéquer et aliéner leurs immeubles. Toutefois leurs biens stipulés dotaux, quand elles sont mariées sous le régime dotal, ne peuvent être hypothéqués ni aliénés que dans les cas déterminés et avec les formes réglées par le code civil.