Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Parte 2Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1889 |
Outras edições - Ver todos
Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Volume 19 Arthur La Broderie,Émile Grimaud Visualização completa - 1875 |
Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Volume 1;Volume 6 Arthur La Broderie,Émile Grimaud Visualização completa - 1859 |
Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Parte 2 Arthur La Broderie,Émile Grimaud Visualização completa - 1892 |
Termos e frases comuns
ANDRÉ JOUBERT ANGEVINS août Bienassis Borderie Bretons Brizeux c'était CATWORET chansons chantait chapelle château Coëtlosquet cœur Confrairie confrérie CONWOION Daoudour devant Dieu diocèse dire documents dom Morice Dors-là enfants ERISPOÉ évêque Faouët fille fils François Franks frère garde général Gislard GONFRED Guérande hommes ILLOK Item j'ai Jean Le Cam Jean Le Masle Joubert jour juillet KADIOU KARO Kernascleden Kerviler Kousk aze l'abbé Bouché l'Aumônier en chef l'auteur l'Empereur LAFOLYE Landunvez Langoat Léon lettre livres Loire-Inférieure LOUHEMEL LOUIS TIERCELIN mabig main maison Marie Marion Marion du Faouët mème messe Messieurs monastère Monseigneur Monsieur mort Nantes NOMINOÉ notaire Olivier de Gourcuff paroisse passer pays père Pluduno poésie poètes prêtres prince Quimper RATWILI réalisme religieux Rennes reste Rohan Rostrenen saint Magloire Saint-Brieuc seigneur septembre sera seul siècle sieur sœur soir sonnet sorte Sulin trève Tromel trouve tyerns Vannes Véroniciens Véronique vicomté vicomté de Léon Voici voilà WIOMARC'H
Passagens mais conhecidas
Página 108 - Nous sommes, avec respect, Monsieur-, vos très humbles et très obéissants serviteurs. L'abbé DE LA. (jiti':xiLLo>~>'.vïE, L'abbé ROUSSKLIN ni ROCIIKH cb"° SÉIIIKE l'aisné (maire), Pierre-Louis-Achille Ch" DE Houit>J Gabriel-François-Cyrille de LÏS Bossnor.
Página 473 - Recherches et Notices sur les députés de la Bretagne aux Etats Généraux et à l'Assemblée Constituante que M.
Página 480 - Mellinet, s'était excusé, par une lettre très aimable, de ne pouvoir assister à la réunion. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté.
Página 167 - BRETONNET. < 0 Marie, daignez prier Dieu, le vrai roi du ciel, pour la dame des Bretons. ,* S'ils ne valent pas mieux, comme poésie, que la plupart des productions françaises du même genre, plusieurs se terminent par une note dont l'accent les distingue et fait leur originalité. Un ardent patriotisme anime les poètes...
Página 168 - Ceux-là vous aiment d'une tendresse si certaine, si douce et si parfaite ! Dans vous, en Bretagne et en France, nous avons mis notre espérance ; priez toujours pour nous. » Ils étaient déjà Français ; la gloire de la France est désormais leur gloire : Guerchez an sent, santel dre excellancc A quentaff lance Briz, France, a avancet ! (XXX).
Página 110 - Nous avons l'honneur d'être, Monsieur, vos très humbles et très obéissants serviteurs.
Página 263 - La nuit de chaque grande fêle, le bretteur (ou bedeau) de la (confrérie de la) Véronique (qui avait son siège dans l'église des Minimes, à Nantes), parcourait la ville en agitant une clochette et demandant à ceux qui reposaient dans la tranquillité de leur sommeil un souvenir pour les trépassés » . (E. de la Gournerie, Notice sur l'église de l'Immac. Concept., Nantes, 1849, p. 13). Langlois (Rouen au xvr siècle et les danses des morts, p.
Página 459 - Néra! Je n'ai pas le courage De te vouloir du mal; Sur nos monts crains l'orage; Crains l'ombre dans le val. Pais longtemps l'herbe verte, Néra! Nous mourrons de ta perte, Ah!
Página 169 - L'insistance qu'ils metArch. 13 tent à demander au Ciel la conservation de ce qu'ils ont de plus cher au monde ne prouve-t-elle pas une vive appréhension ? Leur dernière prière, leur dernier appel à la patronne de la Bretagne est le cri traditionnel, séculaire, éternel de la race : Suppliet, Ytron, euit an Bretonnçt ! Mazdalchint ferm en Breiz ho feiz ho reiz bepret.
Página 167 - Guyr catholiquet (XIX, 10). Ils poussent même la partialité à un point qui fait sourire : c'est particulièrement pour les Léonais que le Sauveur serait né !