Dictionnaire des rimes françaises ..: précédé d'un nouveau traité de versification ..Didier, 1854 - 304 páginas |
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aimer aindre AINT et EINT Ajoutez Ajoutez-y le pl albugine alumine AMBLE bref césure composés consonne couplet déf désinences deuxième pers dictionnaire des rimes diphthongue dissyl dissyllabe ÈBRE eindre exhérède Fontaine genre hémistiche IANT ieux INDRE infibulation Joignez-y le pl l'e muet l'hémistiche l'imp l'impér l'ind l'ode l'oreille lettre d'appui liste précédente liste qui précède ller mouillé llon long méd ment minaison monos monosyl monosyllabe mots riment mots terminés myth noms orthographe OSSE ouer OURG OURT passés des verbes passés masc plur pluriel poëmes poésie poëte poétique prem prép prés prét pron prononce prose qu'une syllabe rime est formée rime féminine rime masculine rime riche rimes suffisantes sing stances strophe subj subst substantifs surabondante syllabes terminaison troisième pers verbes verbes en ouer versification voyelle zool
Passagens mais conhecidas
Página xlii - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés '? Lève, Jérusalem, lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés; Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière; Les peuples à l'envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d'une sainte ferveur Sentira son âme embrasée! Cieux, répandez votre rosée, Et que la terre enfante son Sauveur!
Página x - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página xli - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle? Peuples de la terre, chantez. Jérusalem renaît plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés?
Página xli - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Página xli - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête?
Página xxxix - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Página xxxix - Je ne me soutiens plus : ma force m'abandonne. Mes yeux sont éblouis du jour que je revoi, Et mes genoux tremblants se dérobent sous moi. Hélas Elle t'a&tied. ŒNONE Dieux tout-puissants, que nos pleurs vous apaisent ! PHÈDRE Que ces vains ornements, que ces voiles me pèsent ! Quelle importune main, en formant tous ces nœuds, A pris soin sur mon front d'assembler mes cheveux?
Página xl - Un pauvre Bûcheron tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé marchait à pas pesants, Et tâchait de gagner sa chaumine enfumée.
Página xxxi - On appelle hiatus la rencontre de deux voyelles dont l'une finit un mot et l'autre commence le mot suivant: Ex.
Página xxix - Ne lèveras-tu point ces yeux appesantis? — Ma mère, adieu; je meurs, et tu n'as plus de fils. Non, tu n'as plus de fils, ma mère bien-aimée. Je te perds. Une plaie ardente, envenimée, Me ronge; avec effort je respire, et je crois Chaque fois respirer pour la dernière fois. Je ne parlerai pas. Adieu; ce lit me blesse, Ce tapis qui me couvre accable ma faiblesse ; Tout me pèse et me lasse.