Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et principalement de la Suissela Société Typographique, 1761 |
Outras edições - Ver todos
Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et ... Visualização completa - 1760 |
Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et ... Visualização completa - 1773 |
Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et ... Visualização completa - 1775 |
Termos e frases comuns
affés aiant ainfi aparence auffi auroit avoient avoit Bataille de Pavie befoin c'eft c'eſt caufe ceffe chés chofes circonftances clavage cœur coment Comerce confervation confidérable conoiffance conoitre crime deffus defirs déja Dieu Difcours diférence éfet efprit Egipte énemis enfuite eſt étoient étoit éxemple fage fageffe faifoit fang fans doute feconde fecours fein femble fentiment feroit fervir feul foient foin foit fomes font fous fouvent fuis fuivant fujet grace home JACOB Jéfuites jufqu'à jufte Juftice l'efprit l'Eternel l'Hiftoire l'home laiffe LAURENT de Médicis Loix lorfque Maitre maniére ment mifére moïen mort n'eft n'eſt n'étoit Nation néceffaire obfervations paffer paffions Païs paroit penfer perfone Peuple Philofophes PIERRE de Médicis plufieurs Poëte préfent prefque prémier prémiére Princes profpérité propofe puiffance puiffe Queftion raifon raport Réligion REPSIMA richeffes s'eft Sérendip Suiffes TEMIM tems terre tion Tiran toûjours trés ufage Veine Porte دو رو
Passagens mais conhecidas
Página 543 - Cependant sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide: L'onde approche, se brise et vomit à nos yeux Parmi des flots d'écume un monstre furieux Son front large est armé de cornes menaçantes Tout son corps est couvert d'écaillés jaunissantes, Indomptable taureau, dragon impétueux...
Página 798 - Qui s'entr'ouvrait sous mes pas: Son secours me fortifie, Et me fait trouver la vie Dans les horreurs du trépas.
Página 791 - Il parle , & dans la poudre il les fait tous rentrer. Au feul fon de fa voix, la mer fuit, le ciel tremble. ll voit comme un néant tout l'univers enfemble. Et les foibles mortels , vains jouets du trépas , Sont tous devant fes yeux , comme s'ils n'étoient paï.
Página 682 - Pour diflïper leur ligue il n'a qu'à fe montrer. II parle , & dans la poudre il les fait tous rentrer. Au feul fon de fa voix , la met fuit , le ciel tremble* II voit comme un néant tout l'univers enfembie. Et les foibles mortels, vains jouets du trépas, Sont tous devant fes yeux, comme s'ils n'étoient pas...
Página 864 - Montba^on alla au-devant d'eux jufqu'à moitié chemin de Charenton avec un cortège de cent vingt Gentilshommes choifis ; chaque Député en avoit deux à fes côtés. On marcha ainfi jufqu'à la Porte de S. Antoine , où le Prévôt des Marchands, à la tête des Echevins , après les avoir harangués , fe joignit à leur entrée dans Paris. Leur réception chez le Roi ne fut pas moins diftinguée. Henri IV , en les abordant , leur prit la main en figne d'amitié & d'alliance, & ce Prince répondit...
Página 565 - O charme ! ô joie inattendue ! Je vois fous ces ombrages frais, Je vois l'Amitié defcendue! Mon cœur me rappelle fes traits. Paré des mains de la Nature, Son vifage brille fans fard, Ses yeux charment fans impofture, Son front s'épanouit fans art. , Sur fes...
Página 861 - SuifTe ne parvient qu'au gra» de de Lieutenant Général fans pou» voir rien efpérer de plus -, au lieu que » l'Officier national va au fommet des » horvneurs de fon pays en gagnant des » revenus immenfes. Cette diftin&ior...
Página 510 - Moins riche de ce qu'il poflede Que pauvre de ce qu'il n'a pas. Ah ! fi d'une pauvreté dure Nous cherchons à nous affranchir...
Página 656 - Elle voit avec cronnement que depuis qu'elle a cette attention, elle reçoit beaucoup moins d'ouvrages pour le concours , &: que la plupart de ceux qui lui font envoyés, ne contiennent rien qui ne...
Página 658 - L'académie defire fur-tout, en propcfant ce fujet fi inréreflant pour l'humanité , que l'on s'attache i faire les recherches qu'il peut exiger, fur les plantes qui peuvent le plus aifément fe trouver, ou que du moins l'on pourroit le plus facilement fe procurer, Scdont la culture fetoit la plus aifée.