 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1829 - 544 páginas
...de prendre le voile, ma vocation s'affoiblit tellement, que je n'y pensai presque plus. Il y avoit dans mon couvent des pensionnaires d'un âge beaucoup...depuis si agitée de mes propres aventures que je Tétois de celles de ces personnages fabuleux. La grande liberté qu'on me laissoit n'empêchoit pas... | |
 | 1846 - 472 páginas
...de prendre le voile , ma vocation s'affaiblit tellement, que je n'y pensai presque plus. Il y avait dans mon couvent des pensionnaires d'un âge beaucoup...depuis si agitée de mes propres aventures que je l'étais de celles de ces personnages fabuleux. La grande liberté qu'on me laissait n'empêchait pas... | |
 | Eugène Forcade - 1846 - 676 páginas
...l'autre amour. Même enthousiasme pour le profane que pour le sacré- i. L'impression de cette lecture fut si vive sur mon esprit que je n'ai pas été depuis si agitée de mes propres aventures que je l'étais de celles de ces personnages fahulcux. » Elle y renonça pourtant quand on lui montra le... | |
 | 1853 - 468 páginas
...de prendre le voile , ma vocation s'affaiblit tellement, que je n'y pensai presque plus. Il y avait dans mon couvent des pensionnaires d'un âge beaucoup...depuis si agitée de mes propres aventures que je l'étais de celles de ces personnages fabuleux. La grande liberté qu'on me laissait n'empêchait pas... | |
 | 1864 - 474 páginas
...beaucoup plus avaucé que le mien : je m'attachai à quelquesunes d'elles; cela fit un peu de diversion a mes occupations sérieuses. Elles me prêtèrent des...vive sur mon esprit, que je n'ai pas été depuis si agiiée de mes propres aventures que je l'étais de celles de ces personnages fabuleux. La grande liberté... | |
 | Marguerite Jeanne Cordier de Launay baronne de Staal - 1907 - 316 páginas
...de prendre le voile, ma vocation s'affaiblit tellement, que je n'y pensai presque plus. Il y avait dans mon couvent des pensionnaires d'un âge beaucoup...depuis si agitée de mes propres aventures que je l'étais de celles de ces personnages fabuleux. La grande liberté qu'on me laissait n'empêchait pas... | |
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Il y avait dans mon couvent des pensionnaires d'un âge beaucoup plus avancé que le mien : je m'attachai à quelques-unes d'elles; cela fit un peu de diversion à mes occupations sérieuses. Elles me prêtèrent des romans, dont l'impression fut si vive... 