Œuvres complètes de Voltaire, Volume 19la Société littéraire-typographique, 1785 |
Outras edições - Ver todos
Oeuvres complètes de Voltaire. Tome premiere. [-, Volume 1;Volume 38 Voltaire Visualização completa - 1785 |
Termos e frases comuns
accufé affez affure Agamemnon ainfi athées auffi baptifer Bayle bdellium blé bouc c'eft c'eſt caufe cauſe Céfar cents chaffer chap chofes choſe chrétiens Cicéron confervé de-là diable DIEU difait difciples difent difpute efprits enfans enfuite Epicure ère vulgaire eſpèce eſt Euripide évêque facrés fage fainte fang fans favait favans favoir fecond fecret fecte fefait felon femble femme fens fentiment ferait fervir feul fiècle fignifie fociété foit foixante foleil fommes font fous fouvent fouverain fuivant fujet fupérieur fuppofé furtout Grecs hommes jamais jéfuites JESUS JESUS-CHRIST Jofephe jufqu'à jufte juftice Juifs l'efprit l'Eglife l'empereur l'hiftoire laiffa lefquels long-temps Louis Racine Louis XIV mille monde monfieur mort n'eft n'eſt nations néceffaire paffage paffer pape parle penfer père perfonne peuple philofophes phyfique plaifir plufieurs Plutarque préfent prefque prêtres prince puiffant qu'un queftion raifon refte religion Roger Bacon Romains Rome s'eft SECTION Sodome terre tragédie ufage
Passagens mais conhecidas
Página 100 - ... ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fît , ne foit une loi générale.
Página 39 - Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Tel fut chez nous le sort du théâtre comique.
Página 314 - Si cet ouvrage ne fit pas diminuer le prix du pain, il donna beaucoup de plaisir à la nation , ce qui vaut beaucoup mieux pour elle.
Página 51 - Excite une frayeur mortelle. Je porte l'épouvante et la mort en tous lieux; Tout se change en rocher à mon aspect horrible : Les traits que Jupiter lance du haut des cieux N'ont rien de si terrible Qu'un regard de mes yeux. Les plus grands dieux du ciel, de la terre...
Página 48 - Ils sont ensevelis sous la masse pesante Des monts qu'ils entassaient pour attaquer les cieux. Nous avons vu tomber leur chef audacieux Sous une montagne brûlante; Jupiter l'a contraint de vomir à nos yeux Les restes enflammés de sa rage expirante; Jupiter est victorieux , Et tout cède à l'effort de sa main foudroyante.
Página 74 - ... des rois au bout du monde pour mériter un paradis éternel. Vers le levant, le Vieil de la montagne Se rendit craint par un moyen nouveau : - . Craint n'était-il pour...
Página 46 - Tout mortel doit ici paraître ; On ne peut naître Que pour mourir. De cent maux le trépas délivre ; Qui cherche à vivre Cherche à souffrir. Venez tous sur nos sombres bords ; Le repos qu'on désire Ne tient son empire Que dans le séjour des morts.
Página 36 - On n'est point délaissé quand on a Dieu pour père. Il ouvre à tous la main, il nourrit les corbeaux; II donne la pâture aux jeunes passereaux, Aux bêtes des forêts, des prés et des montagnes : Tout vit de sa bonté 1 . Racine dit : Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte.
Página 198 - Paris qu'ailleurs ; 8c par conféquent plus de gens inutiles qui s'attroupent pour voir le premier objet auquel ils ne font pas accoutumés , pour contempler un...
Página 125 - O toi qui follement fais ton Dieu du hasard , Viens me développer ce nid qu'avec tant d'art, Au même ordre toujours architecte fidèle, A l'aide de son bec maçonne l'hirondelle.