Oeuvres, Volume 91824 |
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... rois , Si l'honneur conservoit encor ses premiers droits , Je lui dirois : Hélas ! vois ma triste patrie , De revers accablée et d'opprobres flétrie ; D'affreux spoliateurs se faisant avec art Du malheur une proie , et des lois un ...
... rois , Si l'honneur conservoit encor ses premiers droits , Je lui dirois : Hélas ! vois ma triste patrie , De revers accablée et d'opprobres flétrie ; D'affreux spoliateurs se faisant avec art Du malheur une proie , et des lois un ...
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... rois , les Césars sont vaincus , Et l'univers admire un prodige de plus . Et pourrai - je oublier tes talents et ton zéle ( ' 5 ) , O toi , de l'amitié le plus parfait modéle , Respectable Ledoux ! artiste citoyen , Par - tout le nom ...
... rois , les Césars sont vaincus , Et l'univers admire un prodige de plus . Et pourrai - je oublier tes talents et ton zéle ( ' 5 ) , O toi , de l'amitié le plus parfait modéle , Respectable Ledoux ! artiste citoyen , Par - tout le nom ...
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... rois . Tel , du haut de son char , le dieu de la lumière S'empare , en se montrant , de la nature entière ; Et , sur tous les objets répandant ses couleurs , Peint les monts et les champs , et l'insecte et les fleurs . Art sublime ! art ...
... rois . Tel , du haut de son char , le dieu de la lumière S'empare , en se montrant , de la nature entière ; Et , sur tous les objets répandant ses couleurs , Peint les monts et les champs , et l'insecte et les fleurs . Art sublime ! art ...
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... gré la scène , Me transporte à son choix , à Rome , dans Athène , Dans le palais des rois , au sérail des sultans , Rapproche les climats , les peuples et les temps ; 2 . * Réalise la fable , et reproduit l'histoire ; Peint CHANT V. 19.
... gré la scène , Me transporte à son choix , à Rome , dans Athène , Dans le palais des rois , au sérail des sultans , Rapproche les climats , les peuples et les temps ; 2 . * Réalise la fable , et reproduit l'histoire ; Peint CHANT V. 19.
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... rois promenant les lambeaux , De spectres , d'assassins , ta muse s'environne : Ton sceptre est un poignard , un cyprès ta couronne ; La nature pour toi n'est qu'un vaste cercueil , Que parcourent l'effroi , la douleur et le deuil . Non ...
... rois promenant les lambeaux , De spectres , d'assassins , ta muse s'environne : Ton sceptre est un poignard , un cyprès ta couronne ; La nature pour toi n'est qu'un vaste cercueil , Que parcourent l'effroi , la douleur et le deuil . Non ...
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Termos e frases comuns
à-la-fois adoré affreux Akenside antiques arts autels avoient avoit beauté beaux Boileau bonheur Bossuet brillants Capitole chant char charme cher ciel cieux cœur connoît consolant crime culte déja Delille destin Dieu dieux divinité douce douleur doux Édouard IV encens enfants esprit étoient étoit fêtes fleurs flots foible fureur gloire goût grace Grèce hameau heureux Homère hommage hommes Horace humains images jeune jour Jupiter l'ame l'amour l'art l'Énéide l'homme l'imagination l'orgueil l'univers Lapon lieux loin lois long-temps lyre main maison des Lancastre Maldives malheur maux Milton mœurs monde mort mortels mystères d'Éleusis Natchés nature noble Ovide Par-tout paroît peint Pélisson peuple plaisirs pleurs poëme poëte poétique pompe pouvoir raison Raphaël reconnoissance religion remords roche Tarpéienne rois Rome sacré sage sagesse saint sang scène secret sentiment seul sort souvent sublime sur-tout tableau talent temple terre tombeaux tour-à-tour tout-à-coup triomphe triste Turgot tyrans vertus Virgile voix Voltaire yeux zéphyrs
Passagens mais conhecidas
Página 121 - There at the foot of yonder nodding beech That wreathes its old fantastic roots so high, His listless length at noon-tide would he stretch, And pore upon the brook that babbles by.
Página 185 - Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers encor témoins de sa victoire; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence... Ciel!
Página 185 - Tous ces yeux qu'on voyoit venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce présence... Ciel ! avec quel respect et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l'assuroient de leur foi ! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
Página 144 - L'époux morne et pensif pleure un fils qu'il adore , La mère en gémissant vient le nourrir encore; Et sur la tombe , où gît l'objet de ses douleurs , Elle verse en silence et son lait et ses pleurs.
Página 110 - Naïf, d'un vain faste ennemi, Il sait parler en sage et causer en ami. Heureux ou malheureux , à la ville , en campagne , Que son livre charmant toujours vous accompagne. Ne peut-on pas aussi , dans le choix des auteurs , Consulter ses besoins , et son âge, et ses mœurs : Graves , ils calmeront le feu de la jeunesse ; Gais , ils feront encor sourire la vieillesse. Tel Voltaire naissant...
Página 185 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat ; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on...
Página 122 - J'admire ses talents, j'en déteste l'usage; Sa parole est un feu , mais un feu qui ravage , Dont les sombres lueurs brillent sur des débris. Tout , jusqu'aux vérités , trompe dans ses écrits ; Et du faux et du vrai ce mélange adultère Est d'un sophiste adroit le premier caractère.
Página 34 - Et de ces vils pensers qui rampent ici-bas, Dans cette vaste mer de feux étincelante, Devant qui notre esprit recule d'épouvante, Newton plonge ; il poursuit, il atteint ces grands corps Qui jusqu'à lui sans lois, sans règles, sans accords, Ilouloient désordonnés sous ces voûtes profondes : De ces brillants chaos Newton a fait des mondes.
Página 92 - L'infortuné qu'il est! à son heure dernière, Souffre à peine une main qui ferme sa paupière ; Pas un ancien ami qu'il cherche encor des yeux ; Et le soleil lui seul a reçu ses adieux. Malheureux! le trépas est donc ton seul asile; Ah!
Página 188 - ... degrés du souterrain, comme pour inviter sa postérité à descendre. Cependant Louis XIV a vainement attendu ses deux derniers fils : l'un s'est précipité au fond de la voûte, en laissant son ancêtre sur le seuil ; l'autre, ainsi qu'Œdipe, a disparu dans une tempête.