| Marguerite-Jeanne Cordier Staal de Launay (baronne de) - 1756 - 468 páginas
...une vive douleur, dont je fauvai aflez bien les apparences.. 0 3 MadeMademoifelle de Silly fondoit en larmes quand il nous dit adieu ; je dérobai les miennes à fes regards plus curieux qu'at- , tendris : mais lorsqu'il eut difparu , je crus avoir cefTé de vivre.... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1829 - 542 páginas
...me causa une vive douleur, dont je sauvai assez bien les apparences. Mademoiselle de Silly fondoit en larmes quand il nous dit adieu : je dérobai les...cessé de vivre. Mes yeux, accoutumés à le voir, ne regardoient plus rien; je ne elaignois parler, puisqu'il ne m'entendoit pas; il me semble même que... | |
| 1829 - 546 páginas
...me causa une vive douleur, dont je sauvai assez bien les apparences. Mademoiselle de Silly fondoit en larmes quand il nous dit adieu : je dérobai les...cessé de vivre. Mes yeux, accoutumés à le voir, ne regardoient plus rien; je ne daignois parler , puisqu'il ne m'entendoit pas ; il me semble même que... | |
| Charles Pinot- Duclos - 1829 - 546 páginas
...me causa une vive douleur, dont je sauvai assez bien les apparences. Mademoiselle de Silly fondoit en larmes quand il nous dit adieu : je dérobai les...cessé de vivre. Mes yeux, accoutumés à le voir, ne regardoient plus rien; je ne daignois parler, puisqu'il ne m'entendoit pas; il me semble même que... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1829 - 544 páginas
...me causa une vive douleur, dont je sauvai assez bien les apparences. Mademoiselle de Silly fondoit en larmes quand il nous dit adieu : je dérobai les...cessé de vivre. Mes yeux, accoutumés à le voir, ne regardoient plus rien; je ne daignois parler, puisqu'il ne m'entendoit pas; il me semble même que... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1878 - 572 páginas
...quelle vivacité passionnée elle nous fait assister à son premier départ! « Mlle de Silly fondoit en « larmes quand il nous dit adieu; je dérobai...cessé de vivre. Mes yeux accoutumés « à le voir ne regardoient plus rien. Je ne daignois parler, « puisqu'il ne m'entendoit pas ; il me semble même... | |
| Eugène Forcade - 1846 - 676 páginas
...laissa mourante. .. Je dérobai, dit-elle, mes sentiments à ses regards plus curieux qu'attendris Mes yeux, accoutumés à le voir, ne regardaient plus...m'entendait pas; il me semble même que je ne pensais plus. » Après une assez longue absence, M. de Silly revint dans la vallée d'Auge, où mademoiselle Delaunay... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 550 páginas
...vivacité passionnée elle nous fait assister à son premier départ ! « Mlte de Silly fondoit « en larmes quand il nous dit adieu ; je dérobai les...cessé de vivre. Mes yeux accoutumés « à le voir ne regardoient plus rien. Je ne daignois parler, « puisqu'il ne m'entendoit pas ; il me semble même... | |
| 1853 - 468 páginas
...donnaient une espèce d'harmonie à ses discours ; on n'y voyait point de tours recherchés , rien d'affecté ; il avait trop d'esprit pour songer à...mon esprit. Je sentais cependant que chaque instant ('éloignait de moi, et ma peine prenait le même accroissement que la distance qui nous séparait.... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1864 - 564 páginas
...quelle vivacité passionnée elle nous fait assister à son premier départ! « M"e de Silly fondoit en larmes quand il nous « dit adieu ; je dérobai...accoutumés à le voir ne regardaient « plus rien. Je ne daignois parler, puisqu'il ne m'entendoit « pas ; il me semble même que je ne pensais plus. » Notons... | |
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