Répertoire général du théâtre français, composé des tragédies, comédies et drames des auteurs du premier et du second ordre restés au Théâtre français: avec une table générale. Théâtre du second ordreVeuve Dabo, 1822 - 642 páginas |
Termos e frases comuns
Acaste affreux ALEXANDRE Allez amour ANDRONIC Antinoüs ARCAS ardeur ARGINE ASPAR barbare bonheur bras Byzance Campistron CASSANDRE charmes cher ciel cœur colère Corcyre Corinthe courroux crainte Créon Créuse crime cruel d'Ulysse déja dessein destin dieux dois douleur enfin ennemis ennuis époux ÉRICLÉE espoir étoit EUDOXE EUMÉE EURIMAQUE EURINOME fatal fils flamme foiblesse frère funeste fureur GARDES gloire haine Hécate Hélas heureux hymen indigne ingrat inhumaine IPHISE IPHITE IRÈNE Ithaque j'ai jamais JASON joug jour l'amour L'EMPEREUR l'horreur l'hymen l'interrompant lâche Ladislas laisse Léonce Léonor lieux lois long-temps m'en madame malheureux MARCÈNE MARTIAN maux MÉDÉE mort mourir OCTAVE paroître PÉNÉLOPE père perfide peuple pleurs presse prince princesse puis-je punir règne reine RHODOPE rien sais Samos sang SCÈNE VII secret seigneur seul soins sort souffrir soupirs supplice TÉLÉMAQUE tendresse Théâtre THÉODORE tragédie transports triste trouble tyrans ULYSSE vais VENCESLAS vengeance venger veux vœux vois vous-même yeux
Passagens mais conhecidas
Página 80 - ou bien le couronner. L'état vous la souhaite, et le peuple m'enseigne, Voulant que vous viviez, qu'il est las que je règne. La justice est aux rois la reine des vertus, Et me vouloir injuste, est ne me vouloir plus : Régnez ; après l'état, j'ai droit de vous élire, Et donner en mon fils un père à mon empire. LE
Página 10 - rang, •Je n'y vois rien d'auguste, et digne de mon sang; J'y cherche Ladislas, et ne le puis connoître : Vous n'avez rien d'un roi, que le désir de l'être; Et ce désir, dit-on, peu discret et trop prompt, En souffre avec ennui le bandeau sur mou front. Vous plaignez le travail où ce fardeau m'engage
Página 60 - Dans l'horreur de la nuit ayant traîné mes pas, Par le sang que je perds mon cœur enfin se glace, Je tombe, et, hors de moi, demeure sur la place ; Tant qu'Octave passant s'est donné le souci De bander ma blessure, et de me rendre ici, Où, non sans peine encor, je reviens en moi-même. THÉODORE,
Página 73 - votre frère mort, J'ai craint de prononcer, autant que vous d'entendre, L'arrêt qu'ils demandoient, et que j'ai dû leur rendre. Pour ne vous perdre pas, j'ai long-temps combattu; Mais ou l'art de régner n'est plus une vertu. Et c'est une chimère aux rois que la justice, Ou,
Página 11 - son ennemi ! Encore est-ce trop peu : votre aveugle colère Le hait en autrui même, et passe à votre frère; Votre jalouse humeur ne lui saurait souffrir La liberté d'aimer ce qu'il me voit chérir ; Son amour pour le duc lui produit votre haine. Cherchez un digne objet à cette humeur hautaine ; Employez, employez ces bouillants
Página 12 - on vous tient en si mauvaise estime, Qu'innocent ou coupable, on vous charge du crime, Et que vous offensant d'un soupçon éternel, Aux bras du sommeil même on vous fait criminel. Sous ce fatal soupçon qui défend qu'on me craigne, On se venge, on s'égorge, et l'impunité règne ; Et ce juste mépris de
Página 61 - rien, A de votre couronne abattu le soutien : Le duc est mort, seigneur, et j'en suis l'homicide ¡ Mais j'ai dû l'être. LE noi. O Dieu ! le duc est mort, perfide ! Le duc est mort, barbare ! et pour excuse enfin Vous avez eu raison d'être son assassin
Página 16 - S'il ne s'en usurpoit et m'ôtoit les emplois Qui si jeune m'ont fait l'effroi de tant de rois, Et dont ces derniers jours il a des Moscovites Arrêté les progrès et restreint les limites. Partant pour cette grande et fameuse action, Vous en mîtes le prix à sa discrétion ; Mais s'il est trop puissant pour craindre ma
Página 12 - LE ROI. Encore un mot, et puis je vous entends. S'il faut qu'à cent rapports ma créance réponde, Rarement le soleil rend la lumière au monde, Que le premier rayon qu'il répand ici bas N'y découvre quelqu'un de vos assassinats
Página 55 - bras, Et ce séditieux vous verra de si bas, Que jamais d'aucun trait de haine ni d'envie, II ne pourra livrer d'atteinte à votre vie ; Que l'instinct enragé qui meut ses passions, Ne mettra plus de borne à vos prétentions ; Qu'il ne pourra heurter votre pouvoir suprême, Et que tous vos souhaits dépendront de vous-même.