La Fontaine et les fabulistes, Volume 2 |
O que estão dizendo - Escrever uma resenha
Não encontramos nenhuma resenha nos lugares comuns.
Outras edições - Visualizar todos
Termos e frases comuns
aime âme animaux assez beau belle besoin bêtes caractère cause changer charme chercher chien chose commence commun conte corps côté coup cour croire d'être demande devant Dieu différence dire disait dit-il dix-huitième siècle donner élève enfants enfin exemple fable fabuliste faisait femme Florian fond font Fontaine force forme fort fortune Gellert général genre gens goût Grecs heureux hommes humaine idées J'ai jeune jour jusqu'à l'autre l'esprit l'homme l'un laisse leçon lettres LIBRARIES lieu lion littérature livre loup main malheur manière ment mieux monde montrer moralité mort n'en n'était nature parler passer pauvre pensée père personnages personne petits peuple philosophique plaisir plutôt poésie poëte porte pourrait premier prend presque prince qu'à qu'un raison récit renard reste rien s'en s'il sage sais sait semble sentiments serait seul siècle société sort souvent surtout terre tour traits trouve Ulysse vérité veut veux vient voilà Voyez vrai
Passagens mais conhecidas
Página 24 - J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Página 77 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; Il était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau...
Página 84 - La perte d'un époux ne va point sans soupirs : On fait beaucoup de bruit , et puis on se console. Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole : Le Temps ramène les plaisirs. Entre la veuve d'une année Et la veuve d'une journée La différence est grande : on ne croirait jamais Que ce fût la même personne...
Página 77 - Perrette, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple et souliers plats.
Página 123 - L'animal chargé d'ans , vieux cerf, et de dix cors , En suppose un plus jeune , et l'oblige , par force , A présenter aux chiens une nouvelle amorce. Que de raisonnements pour conserver ses jours ! Le retour sur ses pas , les malices , les tours , Et le change , et cent stratagèmes Dignes des plus grands chefs , dignes d'un meilleur sort.
Página 140 - L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : « Qu'allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : Non pas pour vous, cruel ! Au moins que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Página 82 - Le savetier crut voir tout l'argent que la terre Avait depuis plus de cent ans Produit pour l'usage des gens. Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.
Página 113 - Ils disent donc Que la bête est une machine ; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts. Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Página 86 - Puis ses traits choquer et déplaire ; Puis cent sortes de fards. Ses soins ne purent faire Qu'elle échappât au temps, cet insigne larron : Les ruines d'une maison Se peuvent réparer ; que n'est cet avantage Pour les ruines du visage ! Sa préciosité changea lors de langage. Son miroir lui disait :
Página 440 - DE ta tige détachée, Pauvre feuille desséchée, Où vas-tu? Je n'en sais rien. L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien.