La langue française, seconde partie: variétés historiques et littérairesJenkins, 1887 - 276 páginas |
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La langue française, seconde partie: variétés historiques et littéraires Paul Bercy Visualização completa - 1887 |
Termos e frases comuns
acteurs adjectifs ATHALIE Balthazar Belle Nivernaise Bercy's Bernard Palissy Bernard's Blanks Boards c'était Causeries Colin Collot's Progressive French comédie Comédie-Française complément direct conditionnel conjonction Conjuguer ces verbes Contes continued Corneille Cuentos dames devant dit-il DON JUAN Drill Book DuCroquet's Edmondo de Amicis employé English Erckmann-Chatrian Exemple Exercises Expliquer l'emploi femme First Fontaine forme affirmative François 1er French Conversation French Drill French Grammar French Verbs German Reader Henri homme Idiotismes à expliquer Italian J'ai Jeannot jeune jour L'Ami Fritz l'imparfait Langue Française Latin Lecture Française Livre des Enfants Louis XIV madame Claës madame de Maintenon Madeleine Blanchet Marguerite Molière monde MONSIEUR DIMANCHE NOTES ET QUESTIONS Panurge Paper Clo participe passé Pathelin pauvre père personne du singulier phrase pluriel poète porte première préposition présent de l'indicatif pronom Pronunciation QUESTIONS GRAMMATICALES Rachel reine Rougemont's Sardou's French Language Sauveur's scène seul siècle subjonctif suivantes Tablet théâtre trouve Versailles Victor Hugo
Passagens mais conhecidas
Página 208 - Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Página 138 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Página 139 - J'ai mon Dieu que je sers, vous servirez le vôtre : Ce sont deux puissants dieux.
Página 148 - Une mouche survient, et des chevaux s'approche, Prétend les animer par son bourdonnement, Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment Qu'elle fait aller la machine ; S'assied sur le timon, sur le nez du cocher.
Página 73 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Página 140 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 225 - Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières, Son sang dont tes bourreaux viennent de me couvrir M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée, De ce bienheureux sang tu me vois baptisée, Je suis chrétienne enfin, n'est-ce point assez dit?
Página 139 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies, Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE. Eh quoi ! vous n'avez point de passe-temps plus doux?
Página 180 - Colin, toujours tendre, écrivit une lettre de compliments à son. ancien camarade, et lui fit ces lignes pour le congratuler. Le petit marquis ne lui fit point de réponse: Colin en fut malade de douleur. Le père et la mère donnèrent d'abord un gouverneur...
Página 137 - J'ai nom Êliacin. ATHALIE Votre père? JOAS Je suis, dit-on, un orphelin Entre les bras de Dieu jeté dès ma naissance, Et qui de mes parents n'eus jamais connaissance.