L'église romaine en face de la révolution, Volume 1H. Plon, 1861 - 911 páginas |
Termos e frases comuns
âmes apostolique arriver avaient besoin Bonaparte Bulle C'était Cacault cardinal Consalvi catholique chose chrétien Clergé cœur Concile Conclave Concordat conscience Constitution civile Constitutionnels courage crime culte déclarer décret démagogie devait devoir Dieu Directoire doctrine ecclésias ecclésiastique Église États pontificaux évêques force François Ier gallicane gloire gouvernement guerre hommes impérial jamais Jansénisme Jésus-Christ Joseph Joseph Bonaparte jour l'abbé Bernier l'autorité l'Église gallicane l'Église romaine l'Empereur l'Empire l'État l'Europe l'histoire laisser liberté Louis XVI main Majesté ment ministre n'avait n'était Napoléon nation négociations paix Papauté Pape parler paroles passé pensée père peuple philosophes Pie VII politique pontificale Pontificat pouvait pouvoir prélats Premier Consul prêtres prince principes protestant publique puissance qu'un religieux Religion République reste Révolution révolutionnaire rois Rome s'était Sacerdoce Sacré Collége saint Saint-Père Saint-Siége Sainteté schisme secret sentiments sera seul siècle Siége romain Souverain Pontife Spina spirituelle suprême temporel Thiers tion traité de Tolentino trône trouve vérité voulait
Passagens mais conhecidas
Página 8 - Chacun sait bien que son système n'est pas mieux fondé que les autres ; mais il le soutient parce qu'il est à lui. Il n'y en a pas un seul qui , venant à connoître le vrai et le faux , ne préférât le mensonge qu'il a trouvé à la vérité découverte par un autre.
Página 172 - ... privilèges contraires à l'égalité. Vous êtes dès ce moment, frères et amis, tous citoyens, tous égaux en droits, et tous appelés également à gouverner, à servir et défendre votre patrie.
Página 195 - ... garder l'unité, à la fin fût mis au-dessus des partialités que les divers intérêts et les jalousies d'État pourraient causer, jeta les fondements de ce grand dessein par Pépin et par Charlemagne.
Página 418 - Si nous eussions été laissés seuls, j'en eusse fait ce que j'eusse voulu; j'aurais gouverné alors le monde religieux avec la même facilité que je gouvernais le monde politique. Pie VII est vraiment un agneau, tout à fait un bon homme, un véritable homme de bien que j'estime, que j'aime beaucoup, et qui, de son côté, me le rend un peu, j'en suis sûr. Vous ne le verrez pas trop se plaindre de moi, ni porter surtout aucune accusation directe et personnelle.
Página 421 - ... visage rassis. Mais à ce dernier rolle de la mort et de nous, il n'ya plus que faindre, il faut parler François, il faut montrer ce qu'il ya de bon et de net dans le fond du pot, Nam verte voces tum demum pectore ab imo Ejiciuntur, et eripitur persona, manet res".
Página 113 - Nation composée d'hommes d'honneur et de chevaliers, je croyais que dix mille épées seraient sorties de leurs fourreaux pour la venger même d'un regard qui l'aurait menacée d'une insulte ! Mais le siècle de la chevalerie est passé ; celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé, et la gloire de l'Europe est a jamais éteinte.
Página 195 - C'est par une heureuse suite de leur libéralité que l'Église, indépendante dans son chef de toutes les puissances temporelles, se voit en état d'exercer plus librement, pour le bien commun et sous la commune...
Página 196 - Le Pape est hors de Paris, et cela est bien ; il n'est ni à Madrid, ni à Vienne, et c'est pourquoi nous supportons son autorité spirituelle. A Vienne, à Madrid on est fondé à en dire autant.
Página 256 - ... n'était pas celui dont les commissaires respectifs étaient convenus entre eux, dont était convenu le Premier consul lui-même, mais un tout autre. La différence des premières lignes me fit examiner tout le reste avec le soin le plus scrupuleux, et je m'assurai que cet exemplaire...
Página 13 - C'est à Bayle, votre précurseur, et à vous, sans doute, que la gloire est due de cette révolution qui se fait dans les esprits. Mais disons la vérité : elle n'est pas complète; les dévots ont leur parti, et jamais on ne l'achèvera que par une force majeure; c'est du gouvernement que doit partir la sentence qui écrasera Y infâme.