La Guerre de la Péninsule sous son véritable point de vue, ou lettre à Mr. l'abbé F. sur l'histoire de la dernière guerreWeissenbruch, 1819 - 308 páginas |
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Termos e frases comuns
27 Idem Alhandra alliés arrive Arthur Wellesley avaient Badajoz bataille de Bussaco bataille de Salamanque bataille de Vittoria bâtimens Bayonne Beira Blucher Brésil Cadix çais Ciudad-Rodrigo Coimbra commandant continent Corogne corps Cortès d'après DATES décret Détails et événemens discipline Douro Espagne événemens contem Événemens principaux Ferdinand VII forces fran Galice général en chef général Junot général Silveira gouvernement anglais guerre Guerrillas habitans Joseph Junte suprême jusqu'à l'Angleterre l'armée anglo-portugaise l'armée française l'armée portugaise l'empereur Alexandre l'Espagne lignes de Torres-Vedras lington Lisbonne lord Wel lord Wellington Madrid maréchal Masséna maréchal Soult Marmont ment militaires mille hommes millions ministre Napoléon nation officiers paix passer Péninsule peuple poléon porains Porto Portugais Portugal Pradt premier prince régent proclamation provinces Prusse publie quartier-général résistance retire retraite Robert Wilson Russie S. M. Catholique Schwarzemberg sera sir Arthur Wellesley Sir Robert Wilson soldats Tage tion troupes espagnoles troupes françaises troupes portugaises trouve tugal Vittoria
Passagens mais conhecidas
Página lx - Algarves. 3. Les troupes françaises seront nourries et entretenues par l'Espagne , et leur solde payée par la France pendant tout le temps de leur passage en Espagne.
Página lx - VI. — - Un autre corps de quarante mille hommes de troupes françaises sera réuni à Bayonne le 20 novembre prochain au plus tard, pour être prêt à entrer en Espagne, à l'effet de se rendre en Portugal, dans le cas où les Anglais y enverraient des renforts ou le menaceraient d'une attaque. Néanmoins, ce nouveau corps n'entrera en Espagne que lorsque les deux hautes parties contractantes...
Página lvii - Le royaume d'Alemtéjo et le royaume des Algarves seront donnés en toute propriété et souveraineté au prince de la Paix , pour en jouir sous le titre de prince des Algarves.
Página liv - Portugal depuis cette époque, par le concours constant de sa marine avec la marine anglaise dans les croisières et les expéditions de l'Angleterre sur les côtes d'Espagne, et enfin par...
Página liii - Puissances, le désir d'arriver promptement à une pacification générale, en faisant perdre à l'Angleterre le dernier allié qui lui reste sur le continent. L'objet des deux Puissances doit être de se procurer un équivalent aux acquisitions que la marine anglaise a faites dans le cours de cette guerre, et cet objet serait pleinement rempli par les stipulations de l'art.
Página lii - Si sa majesté catholiqué croyait n'avoir pas besoin de secours des troupes françaises, soit que les hostilités soient commencées, ou qu'on doive les terminer par la vérification de la conquête, ou par la conclusion de la paix, dans ce cas le premier consul est convenu que les troupes retourneront en France, sans même attendre ses ordres, dés que sa majesté le croira convenable, et en fera avertir les généraux.
Página lix - Un corps de troupes impériales françaises, de vingt-cinq mille hommes d'infanterie et de trois de cavalerie, entrera en Espagne, il fera sa jonction avec un corps de troupes espagnoles, composé de huit mille hommes d'infanterie, trois mille de cavalerie, et trente pièces d'artillerie.
Página liii - L'Angleterre étant la seule puissance contre laquelle l'Espagne ait des griefs directs , la présente alliance n'aura son exécution que contre elle pendant la guerre actuelle; et l'Espagne restera neutre à l'égard des autres puissances armées contre la République.
Página lvi - Le but de cette convention n'était pas de satisfaire un vain sentiment d'orgueil, ou simplement de venger des offenses qui véritablement n'existent plus le jour où l'on a le pouvoir de les punir; mais c'était une partie de cette vaste combinaison politique qui se rattachait de la Baltique au Hanovre, du Hanovre aux confins d'Otrante, et dont le nœud commun était la paix générale. Le gouvernement français tint ses engagements : une division avec une nombreuse artillerie traversa les Pyrénées...
Página lii - ... traverseront, de se faire aimer, et de concourir par là au maintien de la paix; mais s'il arrivait quelque désagrément (ce qu'à Dieu ne plaise), causé par un, ou plusieurs individus de l'armée française, le commandant français les fera retourner en France, dès que le général espagnol lui aura déclaré de convenir ainsi, en évitant toute discussion, ou...