O panorama: jornal litterario e instructivo de Sociedade Propagadora dos Conhecimientos Uteis, Volume 13

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Na Typ. da Sociedade, 1856
 

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Passagens mais conhecidas

Página 36 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 293 - Du moins ne permets pas. . . La Mollesse oppressée Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée , Et , lasse de parler, succombant sous l'effort , Soupire , étend les bras , ferme l'œil , et s'endort.
Página 292 - Dapperwit, and sunk beside his chair. A mournful glance Sir Fopling upwards cast, " Those eyes are made so killing...
Página 293 - D'un séjour si chéri vient encor me chasser. 0 toi, de mon repos compagne aimable et sombre, A de si noirs forfaits prêteras-tu ton ombre? Ah ! Nuit, si tant de fois, dans les bras de l'amour, Je t'admis aux plaisirs que je cachais au jour, Du moins ne permets pas...
Página 280 - L'invisible ennemi triomphe, et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.
Página 293 - ... sort au même instant ; il se met à leur tête. A suivre ce grand chef l'un et l'autre s'apprête...
Página 293 - L'un pétrit dans un coin l'embonpoint des chanoines; L'autre broie en riant le vermillon des moines: La Volupté la sert avec des yeux dévots, Et toujours le Sommeil lui verse des pavots. Ce soir, plus que jamais, en vain il les redouble.
Página 405 - Les Anglais, nation trop fière, S'arrogent l'empire des mers; Les Français, nation légère, S'emparent de celui des airs.
Página 388 - L'un des Taureaux en leur demeure S'alla cacher à leurs dépens : II en écrasait vingt par heure. Hélas ! on voit que de tout temps Les petits ont pâti des sottises des grands.
Página 104 - Le passé n'est pour nous qu'un triste souvenir; Le présent est affreux, s'il n'est point d'avenir, Si la nuit du tombeau détruit l'être qui pense. Un jour tout sera bien, voilà notre espérance ; Tout est bien aujourd'hui, voilà l'illusion.

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